Réenchanter l’existant
Et études d’évènements
Et études d’évènements
Parler de soi n’est pas un acte anodin.
En effet, l’extériorisation de soi, à travers la mémoire et l’influence des origines est conditionnée par le type de « trajet social » la socialisation familiale,
le mode de formation et par les valeurs qui s’y attachent.
Ce que nous voulons mettre à jour ce sont ces valeurs qui influencent notre mémoire.
Dans l’évocation des origines, on retrouve les relations fondamentales qui se jouent entre trajectoires, positions sociales et schémas mentaux.
Pourquoi ce projet ?
Il n’y a pas une jeunesse, mais des jeunesses aux conditions socio-économiques, géographiques et d’éducation différentes.
Ces différences déterminent des inégalités dans les opportunités des jeunes à mener à bien un projet.
Il nous importe de réduire ces inégalités pour que l’ensemble des jeunes puisse s’engager dans la vie.
Comment ?
C’est à travers un laboratoire où le théâtre et la vidéo sont intrinsèquement liés, que nous accompagnons les jeunes dans la construction de soi, en tant que sujet autonome engagé dans un processus collectif.
Une forme finale
Aujourd’hui, nous avons réalisé près de 100 portraits vidéo qui révèlent qui se cache derrière ces visages.
Leur parcours de vie, de cœurs, leurs sourires, leurs peurs.
Une série de témoignages touchants.
RÉALISATION / CONCEPTION
Nathalie Guisset, metteure en scène.
Julien Pannetier, vidéaste.
Soutenu par :
Festival
À la croisée des chemins » explore un autre patrimoine, celui de la « petite histoire ».
C’est au travers d’un parcours pédestre que nous révélons les strates de la vie, des lieux dorénavant oubliés, les paroles enfouies de certains.
Imaginez vous, dans ces espaces habilement retravaillés de façon à évoquer la magie des éléments, des espaces, des paysages et où les comédiens
seraient les témoins de bribes de vie vraies ou fausses.
Pièce pour 6 danseurs (50’)
Mise en scène Nathalie Guisset
La piscine est un rassemblement de genres humains. Nous piochons dans la richesse de situations quotidiennes révélées par cet espace à la fois populaire et public. Cette collecte de matériaux sensibles et divers est source d’inspiration pour cette pièce chorégraphiée qui s’adresse au tout public.
La piscine est une micro-société. Nous la fréquentons pour nous détendre, nous décharger d’un trop plein de tensions accumulé par le stress et nous ressourcer. C’est à partir de cette réalité que nous emmenons les spectateurs à effleurer la poésie, la fragilité, les manies de l’homme. Enfin, tout ce qui fait de lui qu’il ne sera jamais « normalisé ». Dans ce spectacle, la danse se veut vivante, accessible, drôle, concrète. Le mouvement part donc d’une gestuelle quotidienne amplifiée, rythmée, de l’extrême lenteur à l’extrême rapidité.
dispositif spectateurs
C’est à l’insu des baigneurs, vacanciers (selon le lieu de représentation) que nos danseurs investiront cet espace.
Des surprises vont se succéder, car chaque danseur, dans sa gestuelle reliée à sa fonction, va « signifier » un comportement particulier, le spectacle se créera alors comme un « Reality Show » dansé en direct.
Le mouvement s’inspire donc d’un geste quotidien qui s’amplifie, se répète, se transforme, s’accélère, se rythme différemment.
Parcours/spectacle nocturne
Synopsis
« L’envol tel qu’on le présente dans cette déambulation, est une évocation sensible et métaphorique, du parcours intérieur de chacun à la réussite de son propre envol.
C’est un témoignage collectif sur ce que suscite la question du «choix ».
Ce sont des instants fragiles à l’intérieur desquels chaque personnage nous raconte ses vœux, ses illusions ou ses désillusions.
Nous voulons nous souvenir que nous étions des enfants rêveurs, des adolescents qui volaient et qu’aujourd’hui nous sommes des adultes qui cherchent à s’envoler »
L’équipe
Mise en scène et conception de N.Guisset.
Scénographie et installations »Anamorphose » de M.Bartheye.
Installation « poulailler nocturne » de V.Micucci.
Vidéo danse de S.Delvallée.
Vidéo « Ecole buissonnière » T.Weis.
Costume de M.Laurans.
La démarche
Une déambulation nocturne dans le parc des Beaumonts situé à la limite du quartier Jean Moulin à Montreuil (parc urbain possédant une zone naturelle).
Ce projet a pour ambition de mettre en lien les associations, les artistes, les habitants, les adolescents (par le biais du collège Jean Moulin) du quartier dans le but d’une création collective. Pour se faire, nous solliciterons l’imaginaire de chacun des protagonistes et leur sensibilité comme moteur de création. Sur le thème de l’envol, ils créeront une œuvre chorégraphique et prépareront un événement spectaculaire intégrant les compositions sonores, les décors ainsi que les costumes qu’ils réaliseront. Le rôle de la compagnie consistera à les accompagner dans le processus de création et à leur donner des outils méthodologiques de composition.
Performance atypique, sensible et insolite
« Dans mon ventre, la graine de nos identités, je souffle, je respire, je souffle, j’inspire… »
V.Miccuci
L’éclosion est une évocation métaphorique du moment décisif que constitue la naissance. Passage entre l’avant et l’après, entre douleur et euphorie, entre le dedans et le dehors. Déferlement d’émotions, coulée de sentiments…
Mise en scène et conception: Nathalie Guisset.
Scénographie: Magalie Bartheye.
Plasticiens: Magalie Bartheye, Virginie Micucci, Marion Laurans, Emmanuelle Trazic, Patrice Dugast.
Vidéo « Voir le jour »: Sophie Delvallée.
Musique: Luc Barrera.
Interprêtes: Miléna Gilabert, Lucie Sertillange, Lison Hufschmit, Alassane Fofana, Pierre Lou Piat, Andréa Piat, Pascaline Piat, les élèves de madame Sertillange (professeur d’éducation physique au collège Jean Moulin).
Festival de l’oiseau du Delta du Rhône
Des Fleurs, pour le parc des Guilands
Ce projet basé sur la rencontre de professionnels du spectacle et de jeunes collégiens autour d’une recherche plastique et textuelle sur le thème des fleurs dans l’enceinte du Parc des Guilands se clôture par une installation parsemée de textes mis en jeu.
Festival habits de lumière, ville d’Epernay
Lorsque l’univers de Fritz Lang fusionne avec celui de Chaplin, dans un univers constructiviste, le tout orchestré par les média qui déclament dans des portes voix les grandes inventions de leur temps, Einstein et la relativité, Ford et le fordisme, La fondation Marie Curie, le droit de vote aux femmes…